Le logement occupe une place centrale dans nos vies. Il fait partie de notre identité et reflète notre personnalité, nos aspirations et nos modes de vie. C’est également le premier poste de dépenses pour la plupart des ménages.
Alors choisir son logement, celui dans lequel nous allons habiter, nous ressourcer, partager des moments en famille ou entre amis, et parfois travailler, est un moment tout à fait particulier. Ce choix est déterminant car il conditionne notre qualité de vie, et, dans le cadre d’une acquisition, souvent pour de nombreuses années.
C’est pourquoi, pour la 6ème édition du Baromètre QUALITEL, nous avons choisi de nous intéresser à ce moment si particulier où les Français choisissent leur futur appartement ou leur maison : leurs critères de choix, ce à quoi ils ont été attentifs, le s compromis qu’ils ont dû faire, et leurs éventuelles déconvenues après quelques mois dans leur nouveau logement. Et surtout, quelle a été la place du critère « qualité » dans ce choix.
Les enseignements de ce Baromètre sont riches et nombreux. J’en retiens deux en particulier.
D’abord, le fait qu’à l’heure où la question de l’artificialisation des sols est posée, la maison continue d’être un rêve pour des millions de Français. Alors, comment concilier ces deux intérêts qui semblent s’opposer ?
Ensuite, le fait que les Français choisissent leur logement sans être vraiment avertis de la qualité du bien auquel ils vont « dire oui », parfois pour la vie, au risque d’être déçus.
Rien d’étonnant au fond car, comment déceler ces défauts en seulement une ou deux visites avant de devoir se décider ? S’ils savent appréhender l’état global d’un bien, ils ne sont pas armés pour évaluer des éléments difficilement vérifiables tels que le confort acoustique, le confort thermique, la qualité de l’air intérieur ou certains aspects structurels. Les diagnostics réglementaires peuvent certes apporter quelques éléments mais ils ne couvrent pas tout et force est de constater qu’ils ne sont pas toujours consultés avec le niveau d’attention qu’ils méritent.
Il est donc nécessaire de mieux sensibiliser les Français à ce qui constitue réellement un logement de qualité, de leur expliquer qu’au-delà du type de bien, de la présence d’un extérieur et de l’agencement intérieur, d’autres facteurs tout aussi importants entrent en jeu et vont impacter leur qualité de vie. C’est tout le sens de l’action que poursuit QUALITEL envers le grand public. C’est aussi tout le sens de la certification NF Habitat qui constitue un repère de qualité pour les logements.